26 avril 1204, France, Abbaye de la Glorieuse Ascension de la Vierge de Saint Bruno
Après le repas, l’abbé nous convie dans son bureau. Il nous confie des taches car pour lui personne de doit rester oisif.
Je me propose de m’occuper des bêtes tandis que le Père Ambroise et le frère Nikephoros s’occuperont au scriptorium. Il nous demande également de participer à tout les repas du soir (vers 11h) et la messe de minuit.
Puis nous nous rendons à la messe qui est officier en latin.
Alors que l’ensemble des moines rentrent dans leur cellule, je décide de rejoindre les écuries pour passe run peu de temps avec Kassuf et Vindex. Alors que je sors de l’écurie, j’aperçois une étrange silhouette blanche sur les rempart nord ; mais sur place, je ne trouve aucune trace.
De retour dans ma cellule, mes compagnons de route désirent faire un point et entre autres abordé le moyen de locomotion jusqu’à Béziers (voyage de jour, de nuit, en cercueil, à pied, …)
Père Ambroise me demande de l’accompagner dans l’exploration des tours.
Nous débutons notre inspections dans celle de l’Est mais alors que nous tentons d’y entrer nous constatons que celle-ci est occupé (nous découvrirons plus tard, que c’est le Baron qui s’est installé dans l’édifice).
Notre exploration se poursuit dans celle du sud ; La tour est en ruine. Au premier étage, nous découvrons le squelette au crane défoncer bloquer sous des gravats.
Nous marchons sur les remparts et contournons la tour Est (Père Ambroise utilise un main d’ombre pour faciliter son escalade). Malgré nos recherches nous ne découvrons aucunes traces de la silhouette blanche.
A la tour Nord, nous constatons les restes de cires utilisés récemment.
A l’Ouest, c’est une forge.
27 avril 1204, France, Abbaye de la Glorieuse Ascension de la Vierge de Saint Bruno
Frère Jérôme nous réveille.
Je pars faire mes corvées et je fais la rencontre le Frère Juste. Celui-ci me fournis quelques informations :
_ Le baron est arrivé, il y a une semaine et qu’il n’est pas apprécié par l’abbaye et le frère Jérôme.
_ Le frère Barnabé, le jardinier ne s’occupe pas bien des extérieurs.
Après mes corvées, je me rends au cimetière et constate l’état de délabrement des croix ; je remarque également la présence d’un fontaine inactif. A travers la mousse, je constate un bas-relief représentant la « Cène » (le dernier repas de Jésus).
Au repas, nous sommes placés à la même table que les autres moines.
Je constate que plusieurs moines semblent très fatigués et le frère Pierre très affaiblis (plus tard, je découvrirais que c’est Jean-Michel qui leur à fais des saignées avec l’accord de l’herboriste.)
Je remarque également une sensation de mal aise à la table principale et en particulier de l’abbé (plus tard Frère Nikephoros m’indiquera que l’abbé se serait accroché avec le frère Pierre dans le cloitre).
Une nouvelle fois, nous assistons à la messe de minuit.
Jean-Michel me demande de l’accompagner à la tour, car il est désireux d’inspecter le squelette.
Alors que nous allions sortir, nous croisons le frère Barnabé qui semble avoir vu un revenant.
Sur place, Jean-Michel découvre une pendentif cabossé représentant un croissant de lune (médaillon d’origine d’Afrique du Nord). Selon son expertise, l’individu se serait fais ensevelir vivant lors de l’éboulis puis se serait fait fracasser le crane avec un objet contendant.
Alors que nous allions quitter la tour, je me sens l’irrésistible envie de marcher sur les remparts. A l’endroit où j’avais aperçu la silhouette, je suis surpris par la présence fantomatique. J’assiste à une scène ou une jeune femme en haillon décrépi à vue d’œil avant de disparaitre. Malgré nos recherches dans les environs, nous ne découvrons aucun indices.
De retour aux cellules, nous faisons un nouveau point avant que j’ailles me reposer.
Le reste de la nuit, Frère Nikephoros (transformé en Guillaume) et Père Ambroise se rendrons à la bibliothèque.
Note : Frère Nikephoros est capable de prendre l’apparence physique de Frère Guillaume. Alors qu’il se rendait vers la bibliothèque, il a rencontré le Frère Pierre qui lui parlé de réunion secrète pour le lendemain. Il a également trouvé un étrange texte hérétique et une plume noir et un calice rempli de taches noires (sang ?)
28 avril 1204, France, Abbaye de la Glorieuse Ascension de la Vierge de Saint Bruno
Alors que nous nous attendions à être une nouvelle fois réveillé par le frère Jérôme, nous remarquons qu’un moine est venu demander l’aide de Jean-Michel. En effet, il est demandé par l’herboriste.
Le frère Jean dit le Muet a été retrouvé mort par frère Barnabé.
Jean-Michel réalise une étrange autopsie. Le frère a été poignardé et son cœur a été arraché.
Alors que tout les moines s’inquiète, une dispute éclate entre des moines autour de la Dame blanche (d’un côté le frère Clément soutenu par le Frère Pierre et Guillaume et de l’autre le frère Frédérico soutenu par deux autres frères) le tout sous le regard consterné par frère Denis. Je suis obligé de m’impliquer pour que le calme revienne.
Accompagné de frère Barnabé, nous nous rendons au cloitre, le lieu ou le jardinier à retrouvé le corps de Frère Jean.
Je lui pose des questions mais celui-ci se braque et commence-lui aussi à me poser des questions sur mon emploi du temps. L’interrogatoire s’arrête et je fouille le cloitre à la recherche d’indices mais je ne découvre rien.
Je pars faire mes corvées, rejoins plus tard par le frère Juste. Il m’indiquera que le frère Jean quitter souvent l’abbaye avant que la tempête n’éclate.
Nous assistons au repas en l’honneur du frère Jean.
Alors que nous nous dirigeons à l’église pour la messe de minuit, Jean-Michel nous informe qu’il s’est introduit dans la cellule du défunt. Il a découvert des documents.
" Ancien château. Comte enfui lors de l’attaque, il y a 25 ans. Par où ? Une tour ? Dangereux car soumise au feu adverse. Probablement de ses appartements. Rapport avec la dame de la Nuit ? Survivante de cette époque ? Dans ce cas, autre entrée sur le chemin de ronde ou tour septentrionale où je l'ai vue. Mais n'ai rien trouvé là-bas. Peut- être par le cimetière ou l'église. Y ai vu quelqu'un une fois. Recueilli sur une tombe. Ne m'a pas entendu. Peut-être F. , ou J. Reste-t-il des survivants sous le château, avec la Dame de la Nuit? Ai parfois l'impression d'entendre des chants de sous le château. J. me renseignera sûrement ce soir. "
La messe est toujours en latin.
Nous nous mettons à surveiller le frère Guillaume et le frère Pierre.
Après le repas, l’abbé nous convie dans son bureau. Il nous confie des taches car pour lui personne de doit rester oisif.
Je me propose de m’occuper des bêtes tandis que le Père Ambroise et le frère Nikephoros s’occuperont au scriptorium. Il nous demande également de participer à tout les repas du soir (vers 11h) et la messe de minuit.
Puis nous nous rendons à la messe qui est officier en latin.
Alors que l’ensemble des moines rentrent dans leur cellule, je décide de rejoindre les écuries pour passe run peu de temps avec Kassuf et Vindex. Alors que je sors de l’écurie, j’aperçois une étrange silhouette blanche sur les rempart nord ; mais sur place, je ne trouve aucune trace.
De retour dans ma cellule, mes compagnons de route désirent faire un point et entre autres abordé le moyen de locomotion jusqu’à Béziers (voyage de jour, de nuit, en cercueil, à pied, …)
Père Ambroise me demande de l’accompagner dans l’exploration des tours.
Nous débutons notre inspections dans celle de l’Est mais alors que nous tentons d’y entrer nous constatons que celle-ci est occupé (nous découvrirons plus tard, que c’est le Baron qui s’est installé dans l’édifice).
Notre exploration se poursuit dans celle du sud ; La tour est en ruine. Au premier étage, nous découvrons le squelette au crane défoncer bloquer sous des gravats.
Nous marchons sur les remparts et contournons la tour Est (Père Ambroise utilise un main d’ombre pour faciliter son escalade). Malgré nos recherches nous ne découvrons aucunes traces de la silhouette blanche.
A la tour Nord, nous constatons les restes de cires utilisés récemment.
A l’Ouest, c’est une forge.
27 avril 1204, France, Abbaye de la Glorieuse Ascension de la Vierge de Saint Bruno
Frère Jérôme nous réveille.
Je pars faire mes corvées et je fais la rencontre le Frère Juste. Celui-ci me fournis quelques informations :
_ Le baron est arrivé, il y a une semaine et qu’il n’est pas apprécié par l’abbaye et le frère Jérôme.
_ Le frère Barnabé, le jardinier ne s’occupe pas bien des extérieurs.
Après mes corvées, je me rends au cimetière et constate l’état de délabrement des croix ; je remarque également la présence d’un fontaine inactif. A travers la mousse, je constate un bas-relief représentant la « Cène » (le dernier repas de Jésus).
Au repas, nous sommes placés à la même table que les autres moines.
Je constate que plusieurs moines semblent très fatigués et le frère Pierre très affaiblis (plus tard, je découvrirais que c’est Jean-Michel qui leur à fais des saignées avec l’accord de l’herboriste.)
Je remarque également une sensation de mal aise à la table principale et en particulier de l’abbé (plus tard Frère Nikephoros m’indiquera que l’abbé se serait accroché avec le frère Pierre dans le cloitre).
Une nouvelle fois, nous assistons à la messe de minuit.
Jean-Michel me demande de l’accompagner à la tour, car il est désireux d’inspecter le squelette.
Alors que nous allions sortir, nous croisons le frère Barnabé qui semble avoir vu un revenant.
Sur place, Jean-Michel découvre une pendentif cabossé représentant un croissant de lune (médaillon d’origine d’Afrique du Nord). Selon son expertise, l’individu se serait fais ensevelir vivant lors de l’éboulis puis se serait fait fracasser le crane avec un objet contendant.
Alors que nous allions quitter la tour, je me sens l’irrésistible envie de marcher sur les remparts. A l’endroit où j’avais aperçu la silhouette, je suis surpris par la présence fantomatique. J’assiste à une scène ou une jeune femme en haillon décrépi à vue d’œil avant de disparaitre. Malgré nos recherches dans les environs, nous ne découvrons aucun indices.
De retour aux cellules, nous faisons un nouveau point avant que j’ailles me reposer.
Le reste de la nuit, Frère Nikephoros (transformé en Guillaume) et Père Ambroise se rendrons à la bibliothèque.
Note : Frère Nikephoros est capable de prendre l’apparence physique de Frère Guillaume. Alors qu’il se rendait vers la bibliothèque, il a rencontré le Frère Pierre qui lui parlé de réunion secrète pour le lendemain. Il a également trouvé un étrange texte hérétique et une plume noir et un calice rempli de taches noires (sang ?)
28 avril 1204, France, Abbaye de la Glorieuse Ascension de la Vierge de Saint Bruno
Alors que nous nous attendions à être une nouvelle fois réveillé par le frère Jérôme, nous remarquons qu’un moine est venu demander l’aide de Jean-Michel. En effet, il est demandé par l’herboriste.
Le frère Jean dit le Muet a été retrouvé mort par frère Barnabé.
Jean-Michel réalise une étrange autopsie. Le frère a été poignardé et son cœur a été arraché.
Alors que tout les moines s’inquiète, une dispute éclate entre des moines autour de la Dame blanche (d’un côté le frère Clément soutenu par le Frère Pierre et Guillaume et de l’autre le frère Frédérico soutenu par deux autres frères) le tout sous le regard consterné par frère Denis. Je suis obligé de m’impliquer pour que le calme revienne.
Accompagné de frère Barnabé, nous nous rendons au cloitre, le lieu ou le jardinier à retrouvé le corps de Frère Jean.
Je lui pose des questions mais celui-ci se braque et commence-lui aussi à me poser des questions sur mon emploi du temps. L’interrogatoire s’arrête et je fouille le cloitre à la recherche d’indices mais je ne découvre rien.
Je pars faire mes corvées, rejoins plus tard par le frère Juste. Il m’indiquera que le frère Jean quitter souvent l’abbaye avant que la tempête n’éclate.
Nous assistons au repas en l’honneur du frère Jean.
Alors que nous nous dirigeons à l’église pour la messe de minuit, Jean-Michel nous informe qu’il s’est introduit dans la cellule du défunt. Il a découvert des documents.
" Ancien château. Comte enfui lors de l’attaque, il y a 25 ans. Par où ? Une tour ? Dangereux car soumise au feu adverse. Probablement de ses appartements. Rapport avec la dame de la Nuit ? Survivante de cette époque ? Dans ce cas, autre entrée sur le chemin de ronde ou tour septentrionale où je l'ai vue. Mais n'ai rien trouvé là-bas. Peut- être par le cimetière ou l'église. Y ai vu quelqu'un une fois. Recueilli sur une tombe. Ne m'a pas entendu. Peut-être F. , ou J. Reste-t-il des survivants sous le château, avec la Dame de la Nuit? Ai parfois l'impression d'entendre des chants de sous le château. J. me renseignera sûrement ce soir. "
La messe est toujours en latin.
Nous nous mettons à surveiller le frère Guillaume et le frère Pierre.